•  Le travail qui vous est présenté a été réalisé par quatre étudiants de deux universités différentes, l’une située en Belgique, à Mons, et l’autre située en Suisse, à Genève.

    Une collaboration à distance demande une organisation rigoureuse, du temps, de la flexibilité, de la clarté dans les idées et la façon de les communiquer. Nous avons débuté avec sérénité, mais en oubliant peut-être de traiter certains points plus en profondeur. Les différents objectifs ont donc dû être plusieurs fois redéfinis, en fonction des difficultés rencontrées.

     

          Le travail a été structuré, et réparti comme suit :

     

    *    dégager des critères d’évaluation des différents documents référentiels, en l’occurrence, des typologies[3] traitant de l’usage des TICE dans la formation

         élaborer une grille de référence destinée à l’analyse d’exercices interactifs

         analyser des exercices interactifs proposés sur des sites Internet, et destinés aux enfants ou enseignants

     

        Choisir des disciplines enseignées dans les écoles primaires, et se répartir les analyses au sein du groupe

     

       dégager des pistes, des conseils pouvant servir de base au travail des enseignants, désireux d’utiliser les TICE

     

    Le fait de se répartir le travail, en ajoutant le critère de la distance entre les étudiants, demande une certaine régularité dans la participation, mais aussi au niveau de la communication quant à l’état d’avancement des recherches. Nous avons éprouvé des difficultés à y parvenir, mais à force de discussions pas toujours évidentes, nous sommes parvenus à une distribution des tâches équitable, dont le résultat se trouve entre vos mains.

     

    Un tel objectif peut connaître des périodes creuses, du fait de la non synchronisation dans la communication des étapes du travail réalisé, et des éventuelles difficultés rencontrées. C’est ce que nous avons parfois éprouvé, à certains moments, heureusement assez brefs.

    Il est alors important de se rendre compte rapidement de cet état de fait, en relançant la collaboration, ce afin d’éviter la démotivation du groupe. Ici encore, il faut signaler que nous avons pu rebondir afin de parvenir à l’aboutissement du travail, sans que cela ne soit devenu une douloureuse épreuve.


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